Alliés (suite)

Quoiqu'ils puissent être, les kir-lananis (le nom des créatures pour leur race dans leur langue rude propre) ne sont pas des gargouilles. Le nom est un nom impropre, accordé à eux par des aventuriers qui ont pris les créatures pour un étrange
nouveau type de gargouille quand ils sont apparu dans Féerûnz brièvement après le Temps des Troubles. Les kir-lanans partagent
quelques caractéristiques physiques avec les gargouilles : Les deux ont de grandes ailes de chauve-souris, des cornes courtes, et aiguisées, des griffes.
Mais la ressemblance se termine là. Ces créatures sont plus définitivement une race à part n'ayant aucune parenté à toutes les autres bêtes ou gens vivant dans Féerûne aujourd'hui.
Les kir-lanans apparaissent pour la première fois, aussi loin que n'importe qui peut déterminer, aussitôt après le Temps des Troubles.
Les esprits savants de Féerûne spéculent que l'apparition soudaine des kir-lanans dans le monde était d'une manière ou d'une autre connectée à un ou ou plusieurs événements qui ont eu lieu

pendant cette ère turbulente. Depuis lespremiers qui on été vus, les kir-lanans ont prouvé qu'ils étaient remarqueblement résistant à se renseigner dans leur nature, leurs habitudes, répondant avec la sauvagerie brutale qu'ils provoquaient. Même en étant seul, les créatures exposent une antipathie prononcée pour n'importe qui et n'importe quoi même relié vaguement aux déités de Féerûne - les clercs, les druides, paladins, rôdeurs, et même les fidèles sont inclus. Ces groupes de créatures ont terrorisé des temples et des sanctuaires à travers Féerûne,
sans aucune provocation apparente.
A première, ces attaques paraissent être désorganisées, presque aléatoires, comme si les créatures ne pouvaient pas décider où,
quand et comment ils désiraient frapper. La plupart des assauts des kir-larnans étaient dirigés contre des endroits de vénération et des personnes à proximité. Ils attaquent des temples, des sanctuaires, et des bosquets consacrés aux déités de Féerûne tourmentant le clergé et les fidèles; ils trouvaient ces sites et faisant leur maximum pour profaner les structures.